I'm sorry doctor, but it's NOT too late to treat your patient
À propos de l'article viral « ‘I’m sorry, but it’s too late’: Alabama doctor on treating unvaccinated, dying COVID patients »
Peut-être avez-vous vu passer cet article sur les personnes qui ont refusé de se faire vacciner et ont finalement changé d'idée aux portes de la mort, bien trop tard.
Ce qui est immonde, c'est la réaction de certains militants pour la vaccination, qui prennent un malin plaisir devant cette scène tragique.
Mais ce qui est abject, c'est que personne ne semble se rendre compte que ce sont des meurtres en direct.
Il est criminel de priver les patients de traitements ayant fait leurs preuves. C'est pourtant ce qui se produit lorsque les médecins décident de ne pas suivre des protocoles comme celui de la Frontline COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC), et se contentent d'envoyer les patients aux respirateurs.
Depuis le début, les traitements de la maladie sont généralement soumis à des exigences scientifiques déconnectées de l'urgence de la situation. Pourtant, il était déjà établi, avant la pandémie, que le mieux est ennemi du bien, en contexte d'urgence, et qu'il faut essayer des choses. Faire ses preuves, dans l'urgence, c'est montrer une certaine efficacité et une innocuité satisfaisante, dans des études qui ne sont pas nécessairement aussi grosses que ce qu'on espérerait.
Un bon exemple, ou peut-être contre-exemple, est le remdesivir de Gilead. Des études de faible envergure ont montré un bénéfice mineur du médicament sur la durée des hospitalisations. Parce que les autorités de santé sont corrompues, elles se sont dépêchées de l'approuver, malgré le prix prohibitif et le fait qu'une évaluation peu favorable allait être publiée dans les jours suivants.
Parce que les autorités de santé sont corrompues, elles n'ont pas fait preuve de la même bienveillance à l'égard de la vitamine D à des doses thérapeutiques, ou encore de l'ivermectine, de la fluvoxamine, de la quercétine, de l'artémisine, du zinc, de la vitamine C, et j'en passe, qui ont toutes en commun de ne pas être soutenues par des intérêts financiers ayant un pouvoir sur les processus décisionnels des états et de l'OMS. Là, c'est la règle de l'essai randomisé contrôlé inabordable qui prévaut, et toutes les ruses des sceptiques professionnels sont mises à contribution pour faire mal paraître ces traitements. Certains sentent bien que ces traitements qui ne peuvent pas faire de mal valent la peine d'être essayés – on fait de la médecine, pas de la recherche pour produire des preuves de haut niveau, qui prennent des années à venir – pensez au médicament de Gilead. Mais on s'est dit que, au final, tout cela ne sera jamais aussi efficace que le vaccin, et qu'il ne faudrait pas nuire à l'effort de vaccination en offrant d'autres solutions.
Ce raisonnement a prévalu pendant toute la période prévaccinale. Mais maintenant que les campagnes vont bon train, ne serait-il pas temps de relaxer un peu, et de recommencer à pratiquer la médecine?
Non, parce que la campagne demandera des piqûres de rappel, parce qu'il faut viser un pourcentage de vaccinés encore plus important que prévu, parce qu'il faut viser les jeunes, malgré les avertissements de plusieurs spécialistes et administrations publiques.
Alors on se sert des non vaccinés mourants et non traités pour faire de la publicité au vaccin.
On pourra parler longtemps des décès signalés depuis quelques mois suite à la vaccination, des inflammations du cœur dues à la spike vaccinale, etc. Mais il y aura toujours des sceptiques professionnels pour faire barrage, et la tentaculaire Trusted News Initiative pour empêcher le débat scientifique.
Je souhaite beaucoup de chance à mes camarades qui veulent qu'on se penche sur la fanatisation du débat sur la vaccination.
En attendant, j'aimerais qu'on se souvienne que la médecine existe encore, et qu'elle s'est toujours appuyée sur des données parcellaires. Le rigorisme méthodologique qui est devenu la norme pendant la pandémie, et qui avait pour but de laisser la voie libre aux vaccins, doit être combattu, les médecins doivent revenir à l'exercice de la médecine, les patients ne doivent pas avoir peur de réclamer des traitements prometteurs s'ils ne sont pas dangereux.
Il est temps de reconnaître que la vaccination a tué bien plus de gens avant d'exister que maintenant qu'elle existe, et que l'on voit les statistiques de décès post vaccinaux gonfler dans l'indifférence générale. Ces nombres impressionnants, bien plus élevés que pour les vaccinations non-expérimentales, sont minimes par rapport à ceux que l'on peut calculer en comparant le taux de succès du célèbre Dr Varon, par exemple, à ceux des centres médicaux ordinaires.
[Contrairement aux textes précédents, celui-ci n'est pas sourcé. Il n'est pas destiné aux sceptiques professionnels, aux tenants du fascisme sanitaire et aux fanatiques de la méthodologie.]