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Les choses les plus importantes se passent dans l'espace protégé du cabinet de médecin, dans les familles et parmi les amis qui vont faire le nécessaire pour leurs proches, en espérant ne pas être vus par la police du consensus.
Elles se passent dans des courriels et des messages privés où on échange des trucs, des coordonnées, et des encouragements, à l'abri des chasseurs de complotistes.
Réaction à une publication sur Facebook écrite 1 an auparavant.
Hé oui, ça fait un an.
Et ce que j'ai appris, c'est qu'on ne peut pas influencer le développement moral d'un médecin ou d'un fonctionnaire avec des faits scientifiques.
On est laissés à nous-mêmes, à devoir nous médicamenter et médicamenter nos proches vulnérables malgré les médecins et les autorités de la santé, qui attendent des protocoles et des données inabordables... qui attendent, au fond, que les autres le fassent pour le faire. C'est une faillite morale. C'est un rejet de l'éthique médicale.
L'ivermectine s'est donc révélée le médicament de choix pour arrêter l'épidémie. Les données sont incontestables, la seule solution pour le pouvoir est d'en faire abstraction, et c'est ce qu'il fait.
Le traitement du manque de vitamine D s'est révélé une des choses les plus importantes, et certainement la moins couteuse et la plus facile à mettre en pratique, pour prévenir l'engorgement des hôpitaux et des unités de soins intensifs. Mais tout ce qu'on voit dans les médias, c'est des chasseurs de fausses nouvelles qui cherchent la petite bête.
Cette année de confinement de la médecine, pour moi, est terminée. C'est le printemps. Nous savons maintenant que les forces qui président aux changements dans la pratique médicale nous dépassent totalement. Même les plus renommés, comme Tess Lawrie, chercheuse pour l'OMS et Cochrane, même Andrew Hill, lui aussi avec l'OMS, sont impuissants, et subissent des pressions et de la censure. On est rendus au stade où, par exemple, la ministre de la santé de l'état de Mexico doit publiquement répudier l'opinion de ses petits experts d'opérette pour soigner sa population avec l'ivermectine. Où le Paraguay a dû cacher son intervention contre la COVID-19 en faisant semblant de lutter contre un parasite, pour pouvoir administrer de l'ivermectine à grande échelle (et casser la vague net).
Rien ne les arrêtera, ces experts néophobes manquant de conscience morale. Ils n'écouteront pas les véritables experts, ceux qui ont étudié la recherche.
J'ai communiqué avec un certain parti. Sans succès : il y a toujours des experts du consensus pour vous attendre au tournant. Je remercie ce parti de m'avoir soutenu, mais vous le voyez, ce n'est pas cette fois que le politique parviendra à vaincre cette caste. J'ai tenté d'agir à l'échelle locale, comme d'autres l'ont fait. Mais c'est juste trop difficile. C'est pas quelque chose qu'on peut faire seul. Pas moi en tous cas.
Et avec la censure des réseaux sociaux « pour notre bien », qui est le fruit d'une collaboration entre les grands organes de presse, les GAFAM, et l'OMS, les voix les plus influentes disparaissent, et les utilisateurs lambda comme moi sont à risque d'être bannis pour avoir dit des choses somme toute assez banales. Imaginez: même le ministère de la santé brésilien s'est fait censurer par Twitter, simplement parce qu'il recommandait un traitement précoce de la maladie, plutôt que le « enferme-toi, repose-toi et viens éventuellement engorger l'urgence et crever, mais surtout ne prends aucun traitement antiviral ».
Les choses les plus importantes se passent dans l'espace protégé du cabinet de médecin, dans les familles et parmi les amis qui vont faire le nécessaire pour leurs proches, en espérant ne pas être vus par la police du consensus.
Elles se passent dans des courriels où on échange des trucs, des coordonnées, et des encouragements, à l'abri des chasseurs de complotistes.
C'est pour ça qu'un service non-censuré d'envoi d'infolettres comme Substack fait peur aux géants du Web, c'est pour ça que Twitter offre maintenant un service analogue (mais toujours censurable) aux « auteurs ».
Une masse de personnes n'ose pas entrer dans ce panier de crabes, et communique par courriel, par messages privés, en personne.
J'aime bien ce retour aux sources.