Le 20 mars 2021, le jour du printemps, j’ai reçu un « souvenir » de Facebook, me rappelant qu’à la même date, l’année précédente, quelques jours après l’annonce officielle de la pandémie au Québec, j’avais publié un long texte sur des choses simples et évidentes que nous pourrions, que dis-je, que nous devrions faire pour nous protéger du virus.

Un an plus tard, j’avais communiqué avec de nombreux représentants, fait des démarches auprès d’un parti, et rien n’avait bougé. Enfin, presque rien. Et je n’avais pas été le seul. Des chercheurs et chercheuses éminents s’étaient vu refuser leur droit de parole, d’autres avaient été dépubliés, et une multitude s’étaient retrouvés, à leur grande surprise dans le camp des scientifiques égarés, des sans-preuves, des « rassuristes », voire des « complotistes » ou quelque autre insulte à la mode. Et surtout, on avait vu les grands médias, les réseaux sociaux et les autorités de la santé, faisant cause commune contre « la désinformation », rejeter à peu près n’importe quoi qui ne faisait pas partie des recommandations très limitées de l’OMS.

Pourtant, en l’espace d’un an, on avait vu l’OMS et plusieurs autorités imposer le dogme dangereux de l’inutilité du masque pour la population. On les avait vus recommander un médicament coûteux et dangereux, le remdésivir, pour ensuite en déconseiller l’usage, une fois les commandes passées à Gilead, le fabricant… On les avait vus s’embraser contre un médicament en raison d’une étude montée de toutes pièces (#LancetGate).

Mais il semble que beaucoup de monde continue de tomber dans le panneau. Il faut dire que la science et la médecine sont des domaines intimidants.

Il faut dire, aussi, que l’atmosphère est devenue irrespirable dans les réseaux sociaux.

Je vous invite à accueillir cette infolettre dans l’intimité de votre boîte courriel. Asclepias vous fera entendre des voix de scientifiques, médecins, et même de gouvernements qui sont porteuses d’espoir. Il sera également question de ce que les gens comme vous et moi font quand toutes les portes se ferment devant eux. Bref, Asclepias est un espace de liberté et de solidarité.

« Asclepias » est un jeu de mot. Asclepios était le dieu de la médecine dans la Grèce antique. Mais Asclepias est aussi le nom d’une variété de plantes, les asclépiades, qui couvent et nourissent les monarques, ces papillons qui voyagent du Nord au Sud.

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